Les 5 raisons pour lesquelles vous avez toujours faim (et comment y remédier définitivement)

Les 5 raisons pour lesquelles vous avez toujours faim (et comment y remédier définitivement)

5 astuces simples pour mincir en se régalant dès le petit-déjeuner Vous lisez Les 5 raisons pour lesquelles vous avez toujours faim (et comment y remédier définitivement) 7 minutes Suivant Mincir en buvant ? Découvrez 4 boissons brûle-graisse

La faim ça a quelque chose de terrible : on ne peut pas y résister. Autant la gourmandise se gère avec un tant soit peu de volonté et quelques bons systèmes, autant la faim annihile souvent tout le reste, en particulier raison et volonté. C’est ainsi qu’on se retrouve ahuri de nous-même, en réalisant qu’on a ingurgité tout et n’importe quoi sans même nous en rendre compte, comme si notre cerveau conscient s’était évaporé à ce moment-là.

Alors autant vous le dire tout de suite : tenter de retrouver le contrôle lorsque l’appétit est enclenché s’avère très difficile. En revanche, prendre le problème à la racine et éviter de ressentir cette faim incessante qui nous rend incontrôlable semble être la décision la plus sûre.

Voici donc 5 raisons pour lesquelles vous avez toujours faim, et comment y remédier, afin de ne pas vous retrouver dans un piège auquel il est trop difficile d’échapper :

1. Ne pas assez dormir

S’il est très difficile de se contrôler lorsque l’on manque de sommeil, c’est parce qu’il s’agit d’une question hormonale. Naturellement, lorsque l’on ne dort pas assez ou que le sommeil n’est pas assez réparateur, cela dérègle nos hormones et notamment celles liées à la faim : la ghréline et la leptine. Celles-ci fonctionnent de cette façon :  Quand le taux de ghréline augmente on a faim, lorsque la leptine augmente, c’est le sentiment de satiété qui intervient.

Or, lorsque le sommeil s’avère insuffisant, pour compenser le manque d’énergie, le métabolisme en réclame davantage en faisant augmenter le taux de ghréline et diminuer le taux de leptine : on a donc plus faim que besoin et en plus, notre sensation de satiété est inhibée. Bref, un cocktail explosif pour le contrôle de soi, et pour la ligne qui en subit les conséquences directes.

Du coup, pour éviter de ressentir une faim injustifiée et intarissable, misez sur le sommeil : une bonne nuit de huit heures en moyenne devrait vous éviter bien des problèmes.

2. Prendre un « mauvais » petit-déjeuner

Le petit-déjeuner est un repas crucial, on ne le répètera jamais assez.

Les adeptes du jeûne du matin ne sont pas gagnants car bien souvent la faim nous attend au tournant : vers les 10 heures du matin on ressent un trou dans l’estomac et, soit on patiente jusqu’au déjeuner qui risque alors d’être 1.trop lourd et 2. dévoré trop vite, soit on ne peut pas attendre et on se rue sur les encas de la machine à café, qu’on avale devant l’ordinateur, ce qui n’est guère une bonne chose non plus !

Alors s’il est désormais de notoriété publique que de sauter le petit-déjeuner est une mauvaise stratégie, il se trouve que la qualité du petit- déjeuner est également primordiale. En particulier, plus ce repas sera riche en sucre, plus on sera tenté de manger sucré tout au long de la journée, et plus ce repas sera riche en protéines, moins on ressentira de fringales, et plus on sera rassasié pour toute la journée.

Conclusion : pour éviter d’avoir faim, il vaut mieux miser sur un petit-déjeuner complet, sain et riche en protéines avec du pain complet, et oublier les céréales ou confitures sucrées.

3. Ne pas prévoir d’encas

Être surpris par la faim, ça peut arriver à tout le monde. Même en ayant pris un bon petit-déjeuner, même en ayant bien déjeuné, même en ayant dormi suffisamment, il arrive que certains jours, à cause de notre humeur, du temps ou des aléas de la vie, on ait faim plus tôt que prévu. Et je vais peut-être vous surprendre, mais ce n’est même pas si anormal, ni si grave que ça. Le tout est de l’avoir anticipé pour ne pas se retrouver au dépourvu, dans les engrenages que provoquent les situations problématiques que je viens de vous décrire dans le point précédent.

C’est pourquoi je vous conseille vivement de prévoir tous les jours un encas, léger, sain et rassasiant que vous pourriez consommer en cas de besoin. Une pomme, des amandes, un yaourt nature avec une compote, quelques morceaux de dinde…à chacun son petit encas favori, le tout est qu’il reste raisonnable et pertinent pour faire cesser la faim. Car, ce qu’il faut bien comprendre c’est que le véritable risque serait non pas d’avoir une fringale, mais de satisfaire cette fringale avec des aliments peu recommandés, notamment sucrés et/ou industriels, qui n’apportent que des coups de barre inévitables, des rechutes de faim incessantes, sans aucune satiété satisfaisante.

Ne tombez donc pas dans ce piège de croire qu’il est systématiquement mauvais de manger entre les repas : si cet encas est anticipé et maîtrisé, tout va bien !

4. Être déshydraté

Il arrive également que nous communiquions mal avec notre propre organisme : souvent, quand on croit qu’on a faim, en réalité on a seulement soif. 

Car la déshydratation (comme la faim) provoque une baisse d’énergie et peut même engendrer des migraines. C’est cette confusion qui nous induit en erreur et nous pousse à consommer plus que ce que nous demandent nos besoins, tout en croyant que c’est la faim qui est derrière tout ça.

Soyez donc vigilants et attentifs aux signaux de votre organisme : Quand vous pensez avoir faim, commencez par boire un grand verre d’eau et attendez quelques minutes. Vous verrez qu’il y a de grandes chances pour que votre « faim » se soit évaporée comme par magie…

5. Être stressé

Quand on est stressé, on cherche inconsciemment du réconfort, de l’énergie, des éléments extérieurs qui nous rassurent. Et cette explication qui se comprend aisément d’un point de vue intellectuel, se retrouve également au niveau hormonal : le stress provoque une augmentation du taux de cortisol, notre hormone de stress. Or les hormones susceptibles de combattre cette augmentation de cortisol, ne sont autres que celles du plaisir, du réconfort : les endorphines et la dopamine.

Naturellement donc, le plaisir gourmand vient tenter de lutter contre le stress… tout cela bien sûr sans que l’appétit réel lié à un besoin calorique véridique n’en soit mêlé d’aucune façon ! Vous l’avez compris, pour la ligne : bonjour les dégâts !

Lutter contre le stress du quotidien doit donc être une priorité pour éviter de ressentir cette faim incessante et injustifiée

Pour cela, rien de tel que de marcher à l’air au moins vingt minutes par jour, de pratiquer un sport minimum deux fois par semaine, de faire de la méditation, de la relaxation, ou encore de pratiquer une activité manuelle pour se détendre.

En somme, comme vous l’avez compris, l’appétit comme la ligne sont bien souvent une question d’équilibre hormonal.

Le pire dans tout ça, c'est qu’il est quasiment impossible d’essayer de lutter contre cela : la réalité de nos hormones dépasse notre bon vouloir ou notre volonté. 

Ce n’est pas notre faute, dans bien des cas, avec toute la bonne volonté du monde, mincir s’avère une mission impossible…

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe un moyen tout simple d’équilibrer rapidement les 5 hormones qui sont les plus impliquées dans le fonctionnement du métabolisme et les processus de faim et de satiété.

Il s’agit d’une solution 100% naturelle et qui ne vous prendra pas plus de 30 secondes chaque matin.

En régulant vos hormones, vous allez littéralement fondre sans avoir besoin de faire un régime ou de suer sang et eau à la salle de sport.

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